Pourquoi soigner son ventre pour ne pas avoir mal au dos? Quel est le rôle de l’inflammation sur les douleurs chroniques et la santé? Nos conseils anti-inflammatoires
On entend souvent dire que le ventre est le deuxième cerveau et que celui-ci a une importance capitale dans la santé. On ne fait pas toujours le lien entre le ventre et les douleurs chroniques en général. Pourtant, l’inflammation occupe une place de premier plan pour votre santé.
Bien entendu chacun d’entre nous souhaite être en bonne santé et pouvoir pleinement s’épanouir sans les petits pépins de la vie quotidienne. Les douleurs au ventre, les ballonnements, les constipations, les aigreurs d’estomac, les difficultés de digestion perturbent nombre d’entre vous. On a tous à un moment donné été gêné et perturbé à la suite d’un repas. L’ingestion d’aliments qui passent mal…mais on ne fait pas forcément le lien ensuite avec d’autres troubles qui peuvent survenir. Le lien de causalité n’est pas toujours évident. L’inflammation, le ventre et nos douleurs, histoire de relations intimes…
Microbiote et immunité
Les études scientifiques nombreuses montrent depuis plusieurs années que soigner son assiette c’est soigner sa santé. La composition et la qualité des aliments permettent de prévenir et même de guérir certaines pathologies lourdes. C’est pourquoi le manger mieux est absolument indispensable pour être en bonne santé. Cela évite notamment l’impact d’une alimentation délétère sur les douleurs et le mal de dos.
L’ Organisation Mondiale de la Santé dénombre 1 adulte sur 3 dans le monde avec un syndrome NASH (Non Alcoolic Steato Hepatisis). La stéatose hépatique ou plus couramment appelée la maladie du soda est très répendue aujourd’hui. Dans le monde de nos jours on meurt plus de malnutrition que de sous-nutrition! La généralisation de la junk-food, de l’alimentation moderne influence l’évolution des maladies du ventre. Cela impacte les maladies plus générales qui trouvent leur origine dans les troubles alimentaires.
C’est depuis plusieurs années que les chercheurs ont découvert l’influence capitale du microbiote intestinal sur la santé. L’immunité en est grandement déterminée. On lui attribue un rôle majeur jusqu’à 70 % des défenses de l’organisme. Le microbiote est capable de se modifier fonction des aliments apportés à l’organisme. Il peut se dégrader ou se renforcer fonction des aliments que l’on mange.
Micronutriments
Notre alimentation comporte 3 grandes familles de nutriments: les glucides, les protéines et les lipides. La nutrition ne se limite pas à l’apport de ces macronutriments. ils sont effectivement indispensables à notre métabolisme, au bon fonctionnement de notre organisme. Mais l’alimentation optimale doit apporter également l’ensemble des micronutriments qui sont essentiels.
Les micronutriments sont composés des minéraux, des vitamines et des oligoéléments; nouvellement appelés éléments traces. Ces micronutriments ont une action fondamentale dans le bon fonctionnement cellulaire, d’où leur importance majeure dans la quantité de leurs apports. Une alimentation optimale permet d’apporter aux cellules une diversité et une quantité de molécules nécessaires au métabolisme. En cas de carence, c’est alors le fonctionnement global du métabolisme qui est impacté. La problématique actuelle révèle des carences en augmentation. L’apport alimentaire qualitatif est le premier facteur en micronutrition. A savoir apporter les aliments qui ont été cultivés dans les meilleures conditions possibles, bio, sur les terres qui sont plus riches qui favorisent la qualité produite.
L’inflammation
On entend toujours parler d’inflammation. Mais qu’en est-il réellement? Qu’est-ce que cela implique pour mon ventre et pour ma santé?
C’est un terme médical largement répandu. Mais qui en fait, n’est pas toujours bien compris; avec des conséquences qui sont tout à fait surprenantes.
l’inflammation est un processus naturel
Pour comprendre, un phénomène inflammatoire est un phénomène physiologique naturel qui va permettre la réparation des tissus qui sont endommagés dans certaines situations. C’est donc un mécanisme indispensable au vivant pour lutter contre les agressions. Lors d’infections bactériennes, d’infection virale, c’est le processus naturel de guérison et de réparation qui s’applique. C’est une sorte de bouclier de l’organisme. Sans l’inflammation, il n’y aurait pas de vie car les organismes ne pourraient pas se défendre et se régénérer.
Dans la clinique médicale, c’est-à-dire les signes au chevet du malade qui permettent le diagnostic, une inflammation se traduit part la sémiologie suivante : douleur, chaleur, rougeur et l’oedème. C’est par exemple le cas lorsqu’il y a une entorse sérieuse et que la cheville gonfle suite à la foulure.
Il existe aussi l’inflammation chronique qui s’installe dans le temps. Elle est souvent indolore. Cette inflammation est silencieuse. Le problème avec cette affirmation chronique c’est qu’elle est délétère pour l’organisme et c’est alors la dégénérescence. Elle fait le lit aux maladies dites de civilisation, aux maladies dégénératives, la maladie d’Alzheimer, les cancers, le diabète, les pathologies cardiovasculaires et certains rhumatismes.
Mécanismes de l’inflammation
l’oedème
Pour comprendre, lorsqu’il y arrivée de molécules agressives, il y a une réaction de défense, une réaction immunitaire du corps. Ce sont les cellules appelées mastocytes qui vont libérer de l’histamine, un médiateur chimique qui crée une réaction pro-inflammatoire. C’est ce qui va provoquer une dilatation des vaisseaux sanguins qui augmente la perfusion locale. Cela augmente l’afflux du sang qui provoque donc la rougeur qui est caractéristique de l’inflammation. C’est également l’accumulation de liquide et un oedème de la zone touchée. On observe un gonflement et un tiraillement local. C’est le tissu conjonctif et notamment le système nociceptif, c’est-à-dire les capteurs de la douleur, qui sont sollicités et stimulés.
Le nettoyage
Mais comme nous l’avons vu, cette augmentation de la circulation sanguine locale permet de drainer la zone lésée et notamment d’évacuer les toxines présentes dans le plasma sanguin. Il y a aussi production des cytokines qui sont des protéines inflammatoires spécifiques qui luttent contre l’agression. Le foie réagit alors et fabrique également lui aussi des protéines de la réaction inflammatoire : la protéine C réactive, la CRP. On la mesure souvent dans les prises de sang, dans les dosages sanguins car c’est un marqueur de l’inflammation.
Pour résumer, si le corps est soumis à une agression constante notamment par le biais d’une alimentation non adaptée, il y a un combat constant pour lutter contre cette agression. C’est donc l’inflammation qualifiée de bas grade, qui évolue à bas bruit. Elle provoque des réactions hormonales comme le maintien du cortisol et de l’insuline qui sont sécrétées pour lutter contre l’inflammation, contre le stress oxydatif et la production en excès de radicaux libres.
Le rôle des hormones
L’insuline est une hormone sécrétée par le pancréas, organe au creux de l’estomac. Il a une double fonction : une fonction digestive et une fonction hormonale dite endocrine. Le pancréas sécrète l’insuline, une hormone hypoglycémiante. Elle fait baisser le taux de sucre dans le sang lorsqu’il y a un afflux massif en glucose par l’alimentation. La glycémie est le taux de sucre dans le sang qui varie fonction de l’apport alimentaire. Elle est donc intimement liée à la notion d’indice glycémique des aliments et également à la notion de charge glycémique. https://santemuscle.com/nutrition-indice-glycemique/
L’ Indice Glycémique
L’indice glycémique des aliments, l’IG, est d’autant plus élevé que les aliments sont transformés et cuits. La charge glycémique est fonction de l’apport global alimentaire. C’est le mélange des aliments entre eux, l’assiette dans son ensemble. C’est en somme les I.G. X la quantité.
D’une manière générale, comme vous le savez, retenez qu’il faut absolument éviter les grignotages. Préférez des repas complets et variés qui favorisent l’effet tampon. C’est-à-dire un équilibre entre l’acidité et l’alcalinité, entre les sucres, les protéines et les lipides. L’effet de globalité ralentit la digestion et donc ralentit l’entrée du sucre dans l’organisme.
Vers le diabète…
Par conséquent, s’il y a une forte sécrétion d’insuline afin de gérer un flux massif le sucre dans le sang, cela déclenche un stockage important du sucre sous forme de graisse, de tissu adipeux. Cet excès de consommation de glucides à IG élevé et répété favorise l’émergence d’un état inflammatoire chronique. Il y a production de neuro-médiateurs pro inflammatoires qui rendent les cellules résistantes à l’action de l’insuline. C’est pourquoi on parle ensuite d’ insulino-résistance qui conduit vers la pathologie du diabète.
Inflammation chronique et stress
La seconde hormone qui est largement sollicitée dans une alimentation inappropriée est le cortisol, souvent appelée l’hormone du stress. Ce sont les glandes au-dessus des reins, les glandes surrénales qui sécrètent cette hormone. C’est une réponse physiologique à un état de stimulation, de stress. C’est donc une hormone anti-stress et anti-inflammatoire.
Pour la petite histoire vous comprendrez aisément que les médicaments corticoïdes sont des anti-inflammatoires de synthèse. Lorsque la chronicité s’installe, le problème c’est le dérèglement de la production de cortisol. Cela entraîne une baisse de l’immunité qui engendre l’ensemble de mécanismes délétères au métabolisme: des infections, une perte de la masse musculaire. Cela favorise aussi la production de masse grasse, une augmentation de la tension artérielle…
Les conséquences de l’inflammation
Nous savons aujourd’hui qu’une alimentation inadaptée favorise la survenue de multiples maladies. L’inflammation, le ventre et nos douleurs sont intimement liés. L’alimentation y est capitale. Des molécules appelées radicaux libres, des antioxydants sont produites en excès lorsque notre l’alimentation est transformée. On constate des déséquilibres dans la balance entre les acides gras polyinsaturés oméga 3 et oméga 6. Les 6 sont pro inflammatoires et très présents dans l’alimentation moderne et occidentale. Les oméga 3 sont essentiels et souvent en déficit dans nos assiettes.
Les radicaux libres sont des agresseurs pour nos cellules qui sont très réactifs est très instables chimiquement. S’ils ne sont pas détruit pas les antioxydants, ils entraînent des dommages conséquents et accélèrent les processus du vieillissement.
Ils sont présents dans le noyau de nos cellules. C’est dans l’ADN de nos chromosomes que les radicaux libres sont actifs et qu’ils attaquent, agressent nos cellules. Ils sont naturellement présents dans le vivant. Ce sont eux qui sont à l’origine des processus de dégénérescence. Mais ils sont majorés par un environnement délétère comme le rayonnement solaire ultraviolet, la cigarette, l’air pollué, les produits chimiques, les solvants et les pesticides alimentaires.
L’alimentation anti-inflammatoire
Pour contrer cette attaque radicalaire et cette inflammation, nos cellules ont développé un système de défense efficace. L’apport suffisant micronutriments comme le zinc, le sélénium, le cuivre, les vitamines est fondamental. Ces éléments doivent être d’abord apportés par une alimentation saine. Ils concourent à cet équilibre car ils sont riches en antioxydants comme la vitamine A, la vitamine C, en polyphénols et toutes ces substances qui sont présentes en masse dans les fruits et les légumes de qualité. Il faut donc absolument équilibrer cette balance entre l’agression des radicaux libres et les défenses en antioxydants.
Lorsque l’apport antioxydant est insuffisant, ce qui est souvent le cas dans nos rythmes de vie et notre alimentation moderne; il y a ce qu’on a ce qu’on appelle un stress oxydatif. Il est responsable de nombreuses pathologies qui sont pro -inflammatoires. On parle d’inflammation dite de bas grade. Elle entretient un terrain propice aux radicaux libres qui est néfaste pour votre santé.
On sait par exemple qu’un déficit en vitamine D augmente le risque de cancer de manière très importante. De la même manière, un déséquilibre de la balance entre les acides gras polyinsaturés oméga 3 et oméga 6 est défavorable à la santé notamment au niveau cardio-vasculaire. Des déficiences en vitamines du groupe B , notamment en B6, B9, B12 sont liées à des cancers du colon, des cancer du sein, du col de l’utérus.
C’est pourquoi une prise de conscience sur la qualité nutritionnelle est fondamentale. L’apport suffisant de petits poissons gras, de maquereau, de sardines, 2/3 fois la semaine amènent des bonnes graisses. La consommation en quantité de fruits et légumes de couleurs variées à tous les repas est bénéfique à l’apport micronutrionnel. La composition de votre assiette est absolument fondamentale pour la santé et les diverses douleurs liées aux pathologies. La prévention passe inévitablement par l’alimentation.
Alimentation : qualité contre complémentation ?
Les études de grandes ampleurs comme l’études SUVIMAX montrent que la complémentation est souvent nécessaire afin d’optimiser l’apport en micronutriments. https://www.mangerbouger.fr/pro/IMG/pdf/enquete_SU-VI-MAX.pdf
Il ne faut pas diaboliser la complémentation et ne pas la confondre avec la supplémentation. C’est-à-dire l’apport excessif, en supplément, de ces substances essentielles, vitales au bon fonctionnement de l’organisme. C’est pourquoi il ne faut pas non plus tomber dans l’excès inverse. A savoir, et d’une manière générale pour le vivant, le plus est l’ennemi du mieux. Un apport en excès peut provoquer des effets inverses et délétères pour la santé. On peut parler par exemple des hypervitaminoses, de l’apport surabondant et massif de vitamines qui est défavorable au métabolisme.
Les bilans biologiques permettent de connaître avec précision les statuts. Ils qualifient vos besoins par des dosages adaptés. Ils permettent d’individualiser la complémentation si nécessaire. Attention donc à l’auto-supplémentation.
Concrètement : Qu’est-ce que je peux faire pour mieux manger ?
Alors avec tout ça très bien. On a compris globalement le rôle majeur de l’alimentation sur la santé. Mais concrètement, qu’est-ce que je fais? Qu’est-ce que je peux manger? Est-ce que mon petit-déjeuner est adapté? Manger 3 repas et un goûter par jour est-il recommandé? Est-ce qu’il faut de la viande à tous les repas? Est-ce que j’ai droit de temps en temps de me lâcher? Ces questions pragmatiques et légitimes mériteront d’être développées.
Quelles sont les règles de bonnes pratiques et les recommandations de bon sens qui permettent déjà de savoir si on adopte des bonnes routines alimentaires. Connaitre les bonnes routines de vie semblent évident mais sans que ce soit pénalisant pour la vie familiale et la vie sociale de chacun d’entre nous; pas si sûr…
Se laisser le temps de changer
On sait que les habitudes sont difficiles à changer. Néanmoins, ce sont ces routines qui vont permettre d’adopter un rythme, un mode alimentaire plus adapté à l’entretien de sa santé. Plusieurs études en psychologie montrent qu’il faut 21 jours pour encrer, implémenter de nouvelles habitudes. Il faut donc s’accorder du temps, être tolérant avec soi-même et surtout persévérer dans votre motivation et votre prise de décision. C’est progressivement que l’on voit apparaître une amélioration des routines.
Ce qui est assez génial, c’est que assez rapidement vous allez sentir votre énergie augmenter. Votre vigilance, votre capacité de concentration va croître grâce à une alimentation adaptée. Une alimentation plus végétale, plus brute, moins transformée a une répercussion fondamentale sur votre qualité de vie. Une fois que vous aurez adopter ces nouvelles habitude, vous allez voir que ça n’aura pas été aussi difficile que ça. Et surtout, vous allez vous dire que vous auriez dû le faire avant!!
Conseils pour une mise en place rapide
Ces recommandations sont du bon sens. Mais ce n’est pas pour cela qu’elles sont appliquées. Le bon sens n’est pas toujours le plus évident!
- Manger dans un environnement propice: dans le calme assis sereinement sans se presser.
- Manger lentement en mastiquant suffisamment est absolument fondamental. La digestion commence par les différents sens de la vue, l’odorat, la mise en bouche et la mastication sont fondamentales pour amorcer la bonne digestion par l’amylase salivaire. C’est-à-dire l’action des enzymes de la salive qui dégradent les aliments en nutriments et amorcent la suite digestive.
- S’alimenter au maximum de végétaux: légumes, fruits si possible bio et local. Avec un minimum de pesticides dans la qualité des produits, participer à l’économie locale. Aussi, plus l’aliment est frais et plus celui-ci est riche en micronutriments. Sa valeur nutritionnelle est plus intéressante, sa qualité est accrue. La moitié de toutes les assiettes devrait être composée de végétal.
- Utiliser la stratégie « je pose ma fourchette entre chaque bouchée » permet d’augmenter le temps en bouche en pleine conscience avec la précision des saveurs, des odeurs, des goûts sur les papilles gustatives.
- Surveiller son taux de vitamine D au moins une fois par an. Se complémenter au besoin. S’exposer au soleil à minimum 20 minutes une demi-heure visage et avant-bras tous les jours à l’extérieur même si le temps est nuageux. Noter que cet acte d’exposition est malgré tout insuffisant la plupart du temps, notamment durant la période hivernale. https://www.anses.fr/fr/content/vitamine-d
- Éviter toute forme de sucre raffiné: les sucres dits rapides à Indice Glycémique élevé. https://santemuscle.com/2020/04/26/brouillon-auto/
- Eviter l’alimentation transformée constituée des plats préparés, le pré-conditionnement des produits en grandes surfaces… C’est une alimentation qui est pourvue d’additifs, d’édulcorants . Ces substances chimiques sont néfastes pour la santé et souvent dépourvues de micronutriments. C’est pourquoi on parle de calories vides. L’apport en énergie, en macronutriments est important : sucres, graisses transformées mais pas de vitamine ni de minéraux..Le sucre est addictif et il favorise un pic glycémique qui va fatiguer l’organisme. Le pancréas est sollicité en excès.
- Manger des petits poissons gras issus de la pêche respectueuse de l’environnement. Consommés 2/3 fois la semaine, ils apportent des huiles excellentes pour la santé, les omégas 3. On les trouve dans les sardines, le maquereau, le hareng et même dans le foie de morue pour les plus motivés!
- Manger des céréales complètes à indice glycémique modéré et bas. Cela permet d’apporter des micronutriments tout à fait intéressant à l’organisme et améliore la fonction du microbiote des intestins.
- Eviter l’excès de consommation de viande rouge qui favorise l’acidité et l’inflammation de l’organisme. Malgré tout, avec parcimonie elle apporte du fer qui est absolument nécessaire aux bonnes fonctions de l’organisme.
- Soigner son environnement évidemment. Eviter les substances addictives et nocives comme fumer et les différents polluants de l’air et des produits ménagers.
- Surtout pratiquer de l’exercice physique. Effectuer du sport le plus régulièrement possible, pas forcément avec forte intensité. La sudation suffit au début. Cela optimise le rendement, les bonnes fonctions métaboliques.
- Dormir suffisamment! Le sommeil de qualité est réparateur. C’est le meilleur des anti-inflammatoires possible pour l’organisme. Se coucher dès que l’envie s’en fait sentir, dans une chambre plutôt fraîche, sombre, isolée du bruit.
A retenir
L’inflammation est déclenchée par une alimentation facile, moderne, rapide mais aux conséquences désastreuses. L’inflammation évolue à bas bruit, de manière insinueuse sans exprimer forcément de retentissement. Mais si on n’adopte pas les bonnes habitudes de vie, les routines alimentaires adéquates, les pathologies vont apparaître. L’inflammation entretient les douleurs. Le ventre est le centre de notre immunité. Pourquoi ne pas s’en préoccuper afin d’anticiper ces complications?
Manger mieux, manger sain n’est pas si compliqué. Le défi relève d’une décision, de votre décision à prendre votre santé en main. L’organisation qui en découle n’est qu’une étape vers un mieux être qui n’est finalement qu’une évidence.
Alors mangez des carottes !
Un commentaire sur “L’inflammation: le ventre, nos douleurs et la mal au dos…”